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Le maquereau, une pêche intelligente

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Le maquereau, une pêche intelligente

Le maquereau, une pêche intelligente

 

Depuis trente ans, Dominique Ramet pêche, entre autres, le maquereau. Outre la technique et le savoir-faire, il nous raconte aussi ce qu’est une pêche raisonnable et raisonnée !

 

 

Une histoire de famille.


Son fils Théo, 21 ans, qui le seconde, est la cinquième génération de pêcheurs de la famille Ramet. Domi nique, son père, n’en est pas peu fier. À 47 ans, le patron de La Glorieuse immaculée compte trente ans de pêche derrière lui et a eu son propre bateau à 30 ans. Il a commencé à commander à 20 ans. C’est son arrière-grand-père qui avait démarré avec passion l’aventure, avec cinq bateaux, confiés à ses fils : « Tous nos bateaux se sont toujours appelés La Glorieuse quelque chose… J’ai perpétué la tradition ! » La Glorieuse immaculée mesure 23 mètres et compte sept hommes d’équipage qui, en dehors de Théo, ont entre 30 et 45 ans. À terre, la femme de Dominique s’occupe de l’administratif et une personne en contrat senior se charge du travail à quai. Une petite entreprise en soi. 


De janvier à mars, les matelots pêchent au large de la Normandie. Ensuite, ils naviguent plus au nord, au large de l’Angleterre : « On y trouve de très gros maquereaux. » Le maquereau est soumis à des quotas, chaque bateau a droit à un certain volume : « C’est une pêche durable, responsable, on n’affecte pas les ressources naturelles et c’est très bien ainsi, explique Dominique. Tous les soirs, nous devons déclarer notre pêche par satellite aux autorités et quand nous rentrons, nous devons aussi prévenir les autorités maritimes quatre heures avant notre arrivée au port pour qu’elles puissent vérifier lors du déchargement que nous avons respecté nos quotas. » Plus la pêche est rapide, plus tôt rentre le bateau à quai, meilleur est le poisson. Là, c’est le partenaire de Dominique, la société Unipêche qui valorise et vend le poisson. Les maquereaux comme les sardines vivent en bancs qui migrent en fonction de multiples conditions. 

 

 

 

 

Prendre soin des ressources naturelles ! 

 

Pour repérer les bancs, le bateau est bien sûr équipé d’un sondeur qui permet de les détecter. Les filets d’une cinquantaine de mètres de largeur et de longueur sont alors largués. Ils sont dotés de capteurs qui permettent de jauger le taux de remplissage. 
Ensuite tout va très vite. Une fois les poissons arrivés sur le bateau, ils sont triés par taille, lavés, recouverts de glace et descendus dans la chambre froide au fond de la cale. Entre la sortie de l’eau et cette dernière étape il ne se passe jamais plus de deux heures. Une fois les 15 tonnes ainsi pêchées, le quota hebdomadaire accordé au bateau La Glorieuse immaculée reprend la route de Boulogne-sur-Mer ! 

 

Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne ! 

 

Le maquereau, une pêche intelligente

 

Depuis trente ans, Dominique Ramet pêche, entre autres, le maquereau. Outre la technique et le savoir-faire, il nous raconte aussi ce qu’est une pêche raisonnable et raisonnée !

 

 

Une histoire de famille.


Son fils Théo, 21 ans, qui le seconde, est la cinquième génération de pêcheurs de la famille Ramet. Domi nique, son père, n’en est pas peu fier. À 47 ans, le patron de La Glorieuse immaculée compte trente ans de pêche derrière lui et a eu son propre bateau à 30 ans. Il a commencé à commander à 20 ans. C’est son arrière-grand-père qui avait démarré avec passion l’aventure, avec cinq bateaux, confiés à ses fils : « Tous nos bateaux se sont toujours appelés La Glorieuse quelque chose… J’ai perpétué la tradition ! » La Glorieuse immaculée mesure 23 mètres et compte sept hommes d’équipage qui, en dehors de Théo, ont entre 30 et 45 ans. À terre, la femme de Dominique s’occupe de l’administratif et une personne en contrat senior se charge du travail à quai. Une petite entreprise en soi. 


De janvier à mars, les matelots pêchent au large de la Normandie. Ensuite, ils naviguent plus au nord, au large de l’Angleterre : « On y trouve de très gros maquereaux. » Le maquereau est soumis à des quotas, chaque bateau a droit à un certain volume : « C’est une pêche durable, responsable, on n’affecte pas les ressources naturelles et c’est très bien ainsi, explique Dominique. Tous les soirs, nous devons déclarer notre pêche par satellite aux autorités et quand nous rentrons, nous devons aussi prévenir les autorités maritimes quatre heures avant notre arrivée au port pour qu’elles puissent vérifier lors du déchargement que nous avons respecté nos quotas. » Plus la pêche est rapide, plus tôt rentre le bateau à quai, meilleur est le poisson. Là, c’est le partenaire de Dominique, la société Unipêche qui valorise et vend le poisson. Les maquereaux comme les sardines vivent en bancs qui migrent en fonction de multiples conditions. 

 

 

 

 

Prendre soin des ressources naturelles ! 

 

Pour repérer les bancs, le bateau est bien sûr équipé d’un sondeur qui permet de les détecter. Les filets d’une cinquantaine de mètres de largeur et de longueur sont alors largués. Ils sont dotés de capteurs qui permettent de jauger le taux de remplissage. 
Ensuite tout va très vite. Une fois les poissons arrivés sur le bateau, ils sont triés par taille, lavés, recouverts de glace et descendus dans la chambre froide au fond de la cale. Entre la sortie de l’eau et cette dernière étape il ne se passe jamais plus de deux heures. Une fois les 15 tonnes ainsi pêchées, le quota hebdomadaire accordé au bateau La Glorieuse immaculée reprend la route de Boulogne-sur-Mer ! 

 

Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne !