Laurent Deniel est l’un des rares pêcheurs (ils sont quatre !) qui possède une licence en Bretagne pour pêcher les oursins à la drague. Nous l’avons suivi, à bord de l’Octopus, son bateau. 🎣
Laurent Deniel, qui travaillait avant dans la chaudronnerie, a fabriqué lui-même sa « drague », sorte de panier en métal qui permet de récupérer les oursins. Mais il ne fait pas ce qu’il veut : sa taille ne doit pas dépasser 1,20 mètre et le quota quotidien de pêche est limité à 350 kilos d’oursins
Les journées de Laurent Deniel commencent vers 6 heures du matin. Une fois pêchés, les oursins sont triés, ceux de moins de 5,5 centimètres sont remis à la mer. Ils sont lavés, préparés pour être vendus à la criée ou à des grossistes le jour même.
La couleur des oursins varie selon les mers et les rochers sur lesquels ils sont accrochés. Mais peu importe la couleur ! Le goût est toujours au rendez-vous.
Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne !
Laurent Deniel est l’un des rares pêcheurs (ils sont quatre !) qui possède une licence en Bretagne pour pêcher les oursins à la drague. Nous l’avons suivi, à bord de l’Octopus, son bateau. 🎣
Laurent Deniel, qui travaillait avant dans la chaudronnerie, a fabriqué lui-même sa « drague », sorte de panier en métal qui permet de récupérer les oursins. Mais il ne fait pas ce qu’il veut : sa taille ne doit pas dépasser 1,20 mètre et le quota quotidien de pêche est limité à 350 kilos d’oursins
Les journées de Laurent Deniel commencent vers 6 heures du matin. Une fois pêchés, les oursins sont triés, ceux de moins de 5,5 centimètres sont remis à la mer. Ils sont lavés, préparés pour être vendus à la criée ou à des grossistes le jour même.
La couleur des oursins varie selon les mers et les rochers sur lesquels ils sont accrochés. Mais peu importe la couleur ! Le goût est toujours au rendez-vous.
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