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Pour les confitures, il n’y a pas de secret : le fait maison, c’est vraiment meilleur ! Si vous n’avez pas encore franchi le pas de transformer vos fruits en bocaux, voici quelques conseils pour vous lancer.
La recette de base des confitures consiste à mélanger sucre et fruits en laissant frémir environ 20 minutes jusqu’à obtention d’une préparation à 105 degrés.
Une autre méthode recommande de faire cuire pendant 5 minutes les fruits avec le sucre, puis de laisser reposer une nuit. Le sucre va pénétrer dans le fruit et faire ressortir l’eau qui s’évapore alors plus facilement. Ensuite on passe à la cuisson. À la clé : des saveurs de fruits ultraconcentrées
Contrairement aux idées reçues, mieux vaut éviter les fruits abîmés ou trop mûrs.
Si la stérilisation n’est pas soignée, vos confitures ne se conserveront pas. Stériliser est un jeu d’enfant ou presque et il existe différentes méthodes de stérilisation.
La pectine est un ingrédient naturel que l’on trouve dans les végétaux, elle joue le rôle
de ciment, pour gélifier, épaissir naturellement les confitures. Elle est naturellement présente dans les pépins, la peau et l’écorce de tous les fruits, particulièrement dans les agrumes, la pomme, le coing, le cassis, la groseille ou l’abricot. En revanche, les poires, cerises, ananas, fraises, mûres, rhubarbes ou figues en possèdent beaucoup moins.
Certes, les vrais maîtres confituriers ne jurent que par les bassines en cuivre car les ions présents dans ce métal augmentent le pouvoir gélifiant de la pectine. Mais un wok, une casserole à fond épais ou une Cocotte-Minute font parfaitement l’affaire si vous faites des confitures de manière occasionnelle. Ce qui est indispensable en revanche, c’est l’assiette froide sur laquelle on verse une cuillerée de confiture pour vérifier qu’elle est prise. En cas de doute, utilisez un thermomètre. Objectif : 105 degrés.
Si les règles de la stérilisation ont bien été respectées, une confiture se conserve plus de deux ans à l’abri de la lumière. Bien penser à étiqueter car rien ne ressemble plus à une confiture de cassis qu’une confiture de mûres.
Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne !
Pour les confitures, il n’y a pas de secret : le fait maison, c’est vraiment meilleur ! Si vous n’avez pas encore franchi le pas de transformer vos fruits en bocaux, voici quelques conseils pour vous lancer.
La recette de base des confitures consiste à mélanger sucre et fruits en laissant frémir environ 20 minutes jusqu’à obtention d’une préparation à 105 degrés.
Une autre méthode recommande de faire cuire pendant 5 minutes les fruits avec le sucre, puis de laisser reposer une nuit. Le sucre va pénétrer dans le fruit et faire ressortir l’eau qui s’évapore alors plus facilement. Ensuite on passe à la cuisson. À la clé : des saveurs de fruits ultraconcentrées
Contrairement aux idées reçues, mieux vaut éviter les fruits abîmés ou trop mûrs.
Si la stérilisation n’est pas soignée, vos confitures ne se conserveront pas. Stériliser est un jeu d’enfant ou presque et il existe différentes méthodes de stérilisation.
La pectine est un ingrédient naturel que l’on trouve dans les végétaux, elle joue le rôle
de ciment, pour gélifier, épaissir naturellement les confitures. Elle est naturellement présente dans les pépins, la peau et l’écorce de tous les fruits, particulièrement dans les agrumes, la pomme, le coing, le cassis, la groseille ou l’abricot. En revanche, les poires, cerises, ananas, fraises, mûres, rhubarbes ou figues en possèdent beaucoup moins.
Certes, les vrais maîtres confituriers ne jurent que par les bassines en cuivre car les ions présents dans ce métal augmentent le pouvoir gélifiant de la pectine. Mais un wok, une casserole à fond épais ou une Cocotte-Minute font parfaitement l’affaire si vous faites des confitures de manière occasionnelle. Ce qui est indispensable en revanche, c’est l’assiette froide sur laquelle on verse une cuillerée de confiture pour vérifier qu’elle est prise. En cas de doute, utilisez un thermomètre. Objectif : 105 degrés.
Si les règles de la stérilisation ont bien été respectées, une confiture se conserve plus de deux ans à l’abri de la lumière. Bien penser à étiqueter car rien ne ressemble plus à une confiture de cassis qu’une confiture de mûres.
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