Les pouces-pieds, ces coquillages qui font marcher les pêcheurs professionnels !
Le pouce-pied est une espèce de crustacé à pédoncule charnu et court, il vit en grappes accroché aux rochers battus par les mouvements de l’Océan Atlantique. Certains l’appellent pas-e-bez en Bretagne ou Lanterna au Pays basque. Il apprécie les zones rocheuses soumises aux fortes houles et peut vivre jusqu’à 20 ans.
Sa valeur gustative est reconnue, mais le pouce-pied est une espèce fragile à exploiter. Le pouce-pied vit accroché sur les rochers, il a besoin d’eau et d’oxygène, d’être alimenté par les vagues et l’air, entre marée basse et marée haute.
Notre rencontre avec Jolan, pêcheur de pouce-pied
Nous sommes partis à la rencontre de Jolan Gourin, 31 ans, pêcheur de pouce-pied depuis sept ans, de Quiberon jusqu’à Belle-Île.
Pour préserver l’espèce, il n’est autorisé à le faire qu’une journée par semaine. Nous l’avons suivi. C’est sportif ! Le jour où nous étions avec lui, il a attendu 10 heures, et dispose seulement de trois heures au maximum avant la marée remontante, (le moment où il y a donc de la houle) pour pêcher ces coquillages. Il sélectionne ceux qui mesurent de 7 à 8 centimètres.
Et si ce petit avant-goût du magazine vous a plu, et que vous en voulez encore plus, n’attendez plus ! Cliquez-ici pour consulter l’intégralité du magazine en ligne !
Les pouces-pieds, ces coquillages qui font marcher les pêcheurs professionnels !
Le pouce-pied est une espèce de crustacé à pédoncule charnu et court, il vit en grappes accroché aux rochers battus par les mouvements de l’Océan Atlantique. Certains l’appellent pas-e-bez en Bretagne ou Lanterna au Pays basque. Il apprécie les zones rocheuses soumises aux fortes houles et peut vivre jusqu’à 20 ans.
Sa valeur gustative est reconnue, mais le pouce-pied est une espèce fragile à exploiter. Le pouce-pied vit accroché sur les rochers, il a besoin d’eau et d’oxygène, d’être alimenté par les vagues et l’air, entre marée basse et marée haute.
Notre rencontre avec Jolan, pêcheur de pouce-pied
Nous sommes partis à la rencontre de Jolan Gourin, 31 ans, pêcheur de pouce-pied depuis sept ans, de Quiberon jusqu’à Belle-Île.
Pour préserver l’espèce, il n’est autorisé à le faire qu’une journée par semaine. Nous l’avons suivi. C’est sportif ! Le jour où nous étions avec lui, il a attendu 10 heures, et dispose seulement de trois heures au maximum avant la marée remontante, (le moment où il y a donc de la houle) pour pêcher ces coquillages. Il sélectionne ceux qui mesurent de 7 à 8 centimètres.
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